Brèves insolites N°2
Lors de mes recherches pour le blog, je tombe régulièrement sur des infos étonnantes que j'aimerais partager avec vous mais qui n'entrent dans aucune case du blog. Ainsi est née cette série d'infos insolites.
Japon : Une idole s'excuse après s'être faite agresser
Le monde à l'envers. Logique me direz vous, cela se passe de l'autre côté de la planète. J'adore le Japon. Je lui consacre même une chaîne Youtube avec mon fils, Mission Japon. Mais quand ça déconne, il faut le dire.
Le 11 janvier dernier, je suis tombé sur cet article du site Dozodomo relatant la mésaventure d'une idole du groupe NGT48, filiale des célèbres AKB48 pour la ville de Niigata. Maho Yamaguchi s'est faite agressée dans son immeuble par deux hommes, des fans semblerait-il. Elle s'en sort grâce à l'arrivée de l’ascenseur qui déstabilise ses agresseurs. C'était en décembre. Un mois plus tard, alors que les deux hommes, deux étudiants âgés de 25 ans, ont été relâchés sans inculpation, la jeune fille se voit obligée par la société qui gère le groupe de présenter ses excuses en regrettant d'avoir "causé des ennuis" en parlant publiquement de l'agression présumée. Show must continue but it's stacking.
Pour en savoir plus, je vous propose de lire l'article en question du site Dozodomo.
Japon : Des employés-robots renvoyés
Japon toujours mais avec une info plus amusante, même s'il est question - le mot est un peu fort et pas très loin du putaclic - de licenciements. Le pays des mechas (Goldorak, Gundam, etc.) voue une véritable passion pour les robots. J'en veux pour exemple Pepper, ce robot humanoïde qui accueille, oriente et informe dans de nombreuses enseignes sur l’Archipel.
Le site du Figaro nous raconte une drôle d'histoire, celle de l'hôtel Henn Na qui souhaitait devenir le premier hôtel au monde entièrement géré par des robots. Il faut savoir qu'à Sasebo, dans la préfecture de Nagasaki, la main d'oeuvre n'est pas légion. Le Japon de manière globale manque de chambres d'hôtel pour accueillir les touristes. La solution robotique qui plus est très riche en argument marketing semblait être la solution idéale. C'était sans compter sur les bugs à répétition qu'a connu l'hôtel. Le plus drôle étant la mésaventure de ce client qui se faisait réveiller par l'assistant électronique de la chambre lui demandant "Pardon, je ne suis pas sûr d'avoir compris" à chaque ronflement. Ce robot fait partie de la charrette de licenciements.
L'hôtel étant situé aux abords du parc d'attractions Huis Ten Bosch, on imagine aisément que ce dernier ne se transformera jamais en Westworld.
Pour que vous puissiez voir ce que l'hôtel pouvait donner avec un réceptionniste tyrannosaure, je vous ai retrouvé ce reportage de la BBC tourné en 2015, année de son ouverture.
Pour en savoir plus, je vous propose la lecture de l'article du Figaro.
Un Prince à New-York revient en 2020
Je vous le concède, cette info n'a rien d'insolite mais comme je voulais absolument partager ma joie avec vous de voir revenir un de mes films préférés des années 80 sur grand écran et que je ne savais pas où la fourrer - "dans ton cul" me répondront les plus taquins d'entre vous - , je la pose ici. Et, ça, c'est insolite. 😉
Ni un reboot, ni un relauch, mais une vraie suite avec une grande partie de la distribution originelle, nous promet Le Parisien. Eddy Murphy reprendra son rôle.
Arsenio Hall, l’assistant du prince, revient. Shari Headley, l'aimée du prince, revient. John Amos, le père ayant réussi dans le burger revient. James Earl Jones, le Roi du Zamunda, revient. Samuel L. Jackson qui avait un petit rôle dans le premier film... ben, lui, on sait pas.
L'histoire de la suite : Akeem, devenu roi, revient en Amérique pour retrouver un fils dont il vient d'apprendre l'existence. Il me tarde d'être en 2020 en espérant que, comme dans le premier opus, Eddy Murphy tienne, grimé, un grand nombre de rôles secondaires.