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10 infos étonnantes sur Princess Bride

10 Mai 2020 | Les miscellanées | 0 commentaires

Le confinement, ce fut aussi l'occasion - on avait du temps, beaucoup de temps - de se mater et remater du film et de la série via les plateformes de streaming. L'occasion pour moi de faire découvrir à mon fils Princess Bride, un film qui m'avait enchanté dans les années 80. À l'époque, on se rendait au vidéo-club pour louer des K7 VHS qu'il fallait absolument rembobiner avant de les rendre le lendemain au risque de se fader une amende. Non, pour ça en tout cas, ce n'était pas le bon temps. Un conte de fée jouant des poncifs du genre avec irrévérence et tout de même bienveillance, pile-poil ce qu'il nous fallait pour nous extraire de notre quotidien. Même si, petite surprise en fin d'article...

Comme le fiston a validé ce que je n'hésiterai pas à qualifier de chef d’œuvre du cinéma, je me suis chauffé pour vous trouver 10 infos étonnantes sur le film de Rob Reiner, réalisateur à qui on doit également Stand by Me, Quand Harry rencontre Sally ou encore Misery, excusez du peu. C'est parti !

1 - Le Turc est français

Abordons d'abord l'intrigue en évitant le spoil pour le moment. C'est l'histoire d'un Grand Amour. La magnifique Bouton d'or tombe amoureuse de Westley, son valet de ferme, qui lui déclare sa flamme chaque fois qu'il le peut avec mystère et subtilité. Pour être à la hauteur de sa dulcinée, ce dernier décide de s'en aller voquer sur les mers pour trouver fortune et s'en revenir épouser la belle. Hop, je vais en rester là. Certes, mon pitch est tout sauf sexy mais ce ne sont que les premières minutes d'un film qui sera riche en pérégrinations et surtout en personnages hauts en couleurs. Notamment un trio de malandrins composé du Sicilien Vizzini, de l'Espagnol Inigo Montoya et du très attachant lutteur turc Fezzic.

Vous connaissez ce chauvinisme qui me conduit à systématiquement rechercher des références à la France et à la langue française dans des sujets d'articles aux origines très éloignées de notre Hexagone. Bingo, Marseillaise et tout le toutim. Dans le respect de la différence, bien évidemment.

Puisque le rôle de Fezzic est joué par un français qui ne devrait pas être un inconnu pour vous puisque j'ai rapidement évoqué l'acteur dans 10 infos étonnantes sur L'Homme qui valait 3 milliards, André le géant. Plus que son jeu d'acteur, c'est son physique hors norme qui lui ouvre les portes d'Hollywood. Jugez plutôt : 2,24 mètres pour 225 kilos. Des mensurations qui lui valent le surnom de Eighth Wonder of the World, la huitième merveille du monde.

Avant d'entamer une modeste carrière d'acteur, André se révèle au monde en tant que lutteur pour la World Wrestling Federation. Il faut noter qu'il est le seul Français à avoir été champion du monde de catch, à a fois en catégorie poids-lourds (on s'en serait un peu douté) mais aussi par équipes avec le Tongien Haku. Il s'honore également en étant le vainqueur de la première Battle Royal de l'histoire. Vous savez, ce combat aux multiples participants où il ne doit en rester qu'un sur le ring. Ce terme, vous le connaissez sûrement parce qu'il est ensuite popularisé par le film japonais du même nom et, quelques années plus tard, par le jeu Fortnite.

Sa vie, à l'instar de son physique, est étonnante. À l'enfance, lors que sa taille ne lui permet pas de prendre le car scolaire, c'est le dramaturge Samuel Beckett qui le conduit à l'école avec son camion. Jeune adulte, il se fait remarquer à Paris Robert Lageat, un ancien catcheur. Il commence sa carrière sous le nom du géant Ferré, nom qu'il emprunte à un héros picard de la guerre de cent ans dont l'histoire retiendra sa force prodigieuse.

En 1970, le Japon lui ouvre les bras et l'affuble d'un nouveau surnom, Monster Roussimoff, de son vrai patronyme. Puis trois ans plus tard, il entame une carrière américaine avec le résultat qu'on lui connaît.

Petite anecdote pour quand même revenir au cinéma, un de ses plus célèbres matches le met aux prises avec le boxeur Chuck Wepner. Et c'est ce dernier qui inspirera un des passages de Rocky 3 où Rocky Balboa se bat avec "Lèvres de feu" joué par Hulk Hogan, un autre catcheur qui s'essaya également aux écrans, petits et grands.

Mort en 1993, son nom et son image continue à vivre non seulement grâce aux films et aux séries auxquels il a participé, grâce au catch qui n'a jamais été avare en hommages variés mais, plus étonnant, grâce au street art puisque Frank Shepard Fairey a lancé un mouvement intitulé "André the Giant Has a Posse" (André le géant a une bande de potes) à base de stickers collés un peu partout dans les rues de la planète.

Et si vous voulez entendre André parler français, c'est ici que ça se passe.

2 - Qu'est-ce que la mithridatisation ?

Bon, là, je vais spoiler comme un sagouin. Si vous n'avez pas vu le film, je vous invite à passer au point suivant.

Lorsque le pirate Roberts se confronte à Vizzini dans un jeu d'esprit, il propose d'ajouter de la poudre d'iocane, un poison mortel, dans l'une des deux coupes de vin qui se trouvent face à eux sans que le sicilien ne le voit verser le toxique ajout. Une longue réflexion du petit chauve et un coup de pute plus tard, les deux adversaires boivent en même temps le contenu de leur coupe et Vizzini meurt. Coup de chance du pirate Roberts ? Non, mithridatisation. Le pirate explique à Bouton d'or que les deux coupes étaient empoisonnées mais qu'il s'est longuement entraîné à s'immuniser à l'iocane en ingérant des doses croissantes du produit toxique.

Cette pratique qui existe réellement s'appelle donc la mithridatisation. Enfin, qui existe... Je m'explique. Cela reste inefficace vis-à-vis du poison ou de l'alcool, par exemple. Mais fonctionne pour une désensibilisation à un allergène comme le venin d'abeilles, de guêpes ou de fourmis.

On se souvient de pas mal de héros de fiction qui ont eu recours à ce subterfuge. Pour n'en citer que quelques uns parmi les plus illustres, le Comte de Monte-Cristo, Arsène Lupin, James Bond.

La premier a avoir utilisé la méthode lui a donné son nom. Mithridate VI, roi du royaume du Pont (si si, ça existe !), quelques décennies avant JC, aurait souhaité s'immuniser de certains poisons en ingérant de petites doses. Battu par Pompée, il aurait voulu se donner la mort en s’empoisonnant, mais ne put mourir qu’en se faisant tuer par un mercenaire galate. Bien sûr, on reste ici dans le cadre de la légende. Ne faites pas ça, les enfants. Moi, j'ai testé avec le chocolat pendant tout le confinement et je me retrouve avec le poids d'André le géant sans sa taille. Je roule comme une boule vers la prochaine info. Ah oui, et puis la poudre d'Iocane, c'est aussi une invention.

3 - De l'escrime vengeresse à Esprits criminels

Je ne serais pas le Salomon du blog si après avoir évoqué deux des membres du trio, je passais sous silence sans doute le personnage le plus marquant de Princess Bride, j'ai nommé Inigo Montoya. Sa renommée tient à une réplique que nous entendrons plusieurs fois au cours du film. Allez, cadeau !

Cette phrase a tellement marqué les esprits qu'on la retrouve, parodiée ou in extenso, sur bon nombre de t-shirts. Même un site internet, dont fait référence la vidéo ci-dessus, lui a été dédié.

C'est que Montoya a un unique but dans la vie - mini spoil -, retrouver l'assassin de son père qui a laissé au jeune enfant qu'il était alors deux cicatrices sur le visage. L'homme possède un signe particulier, il est polydactyle. Si vous n'avez pas vu le film, deux options, soit vous êtes curieux et vous filez googliser le mot en me laissant en plan - c'est pas gentil -, soit vous allez mater ce film que je me tue à vous dire que même il est vachement bien, nom d'un doigt de plus !

En effectuant mes recherches sur l'acteur qui interprète le bretteur espagnol, Mandy Patinkin, je suis tombé des nues. Parce que je l'ai revu depuis dans une série et jamais je ne me suis dit qu'Inigo Montoya et l'agent Jason Gideon était une seule et même personne. Je me suis retrouvé dans la peau de Loïs Lane ne remarquant pas la ressemblance à une paire de lunettes près entre Clark Kent et Superman. Tellement évident depuis que je le sais. Non mais j'ai honte, hein ! Au point même que je ne veux plus entendre parler de cette info, je préfère passer à la suivante.

4 - Mise en abîme

Je ne vous ai pas encore dévoilé l'une des particularités du film, la narration gigogne, une histoire dans une autre histoire. Les premières images nous amènent dans la chambre d'un adolescent malade que son grand-père vient soutenir en lui lisant une histoire que son père lui racontait dans les mêmes circonstances, ce qui ne laisse pas de rendre sceptique le jeune garçon plus porté sur les jeux vidéos, les comics (si si, on voit une figurine de Captain America derrière lui) que sur les bouquins poussiéreux.

Cette méthode de narration impose au spectateur un second degré permanent positionnant tout ce qui suivra dans la case de la parodie. Régulièrement, le jeune alité interrompt l'histoire pour faire montre de son mécontentement quand les héros s'embrassent, de son impatience quand l'histoire n'évolue pas aussi vite qu'il le souhaiterait, et j'en passe. Petite info, le grand père est joué par un Peter Falk qui vient faire une incursion sur grand écran entre deux épisodes de Colombo.

Allez, on va se la péter un grain en utilisant des mots dont la précision le disputeront à l'admiration que vous lirez dans le regard de votre patron quand vous les emploierez à bon escient. Le coup de l'histoire dans l'histoire, ça s'appelle un récit-cadre. Quand le narrateur n'apparaît pas dans l’histoire qu'il raconte, on parle de niveau extradiégétique, ce qui est présentement le cas. S'il en est un des héros, même minime, le terme employé est hypodiégétique, comme dans le film Conan le Barbare.

Ces interruptions intempestives se trouvent également dans le roman de William Goldman, sorti en 1973, dont est tiré le film. Mais d'une manière tout à fait différente. Goldman n'est pas le premier auteur du conte de fée. À l'instar des frères Grimm, il offre son interprétation, son optimisation. L'histoire est belle. Il a une dizaine d'années quand son père lui lit le livre de Simon Morgenstern. Une lecture qui le marque à vie. Quand, des années plus tard, il offre un exemplaire à son fils, ce dernier ne goûte que moyennement le cadeau et ne va pas plus loin que le premier chapitre. Il en entreprend la lecture (pour la première fois) et se rend compte que son père ne lui a pas tout lu. Morgenstern encombre le récit d'informations économiques et géopolitiques. Le roman d'aventure qu'il croyait est en fait un pamphlet contre la politique de Florin, dont est natif l'auteur. Le père de Goldman avait sciemment laissé de côté le barbant du livre pour ne conserver que l'action, le frisson et le Grand Amour. William Goldman décide qu'il est de son devoir de faire découvrir la version paternelle du conte et sort en son nom une version abrégée qu'il accompagne d'une introduction expliquant la chose et de notes résumant ce qu'il a expurgé de l’œuvre originel.

Croyez-moi, je peux tout à fait comprendre la démarche. Je vais en faire bondir plus d'un mais j'ai eu exactement la même sensation quand j'ai souhaité lire quelques romans de Jules Verne après en avoir vu les films. C'est souvent tout le travail du scénariste que de conserver l'ossature de l'intrigue en faisant fi de la matière, remplacée par l'image. Trop d'informations géographiques dans Le Tour du monde en 80 jours. Ce qui est tout à fait logique pour l'époque, peu de lecteurs ne connaissaient les étapes du voyage. Il fallait les transporter avec un maximum de détails  Trop de justifications techniques dans De la Terre à la Lune. À l'aube de la science-fiction, il fallait crédibiliser les éléments de l'intrigue pour leur donner un semblant de vérité scientifique. De nos jours, il est, à mon sens, plus intéressant de regarder que de lire du Jules Verne. Pour me huer, la partie commentaires vous attend. 😉

5 - L'histoire n'est-elle pas trop belle ?

Goldman est un farceur. Simon Morgenstern n'a jamais existé. C'est drôle parce qu'en lisant quelques critiques de blogueurs littéraires, je suis tombé sur un ou deux qui ont pris cette réécriture au premier degré, ne s'étonnant pas que l'auteur originel soit un habitant du royaume de Florin, le pays où le conte se passe et qui n'existe pas.

Le canular ne s'arrête pas là. Quand William Goldman raconte des éléments de sa vie, il brouille les pistes en mêlant le vrai et le faux. J'en veux pour preuve sa femme qui dans le roman est une psychiatre prénommée Helen, ils sont tous deux parents d'un fils, alors que dans the real life, il a épousé Ilene, une photographe qui lui a donné deux filles, Jenny et Susanna. Il fait appel à ce qu'en anglais on nomme author surrogate, un Canada Dry de l'auteur. Ça a la couleur de l'auteur, le goût de l'auteur… mais ce n'est pas vraiment l'auteur.

En même temps, certaines anecdotes sont réelles notamment concernant sa carrière hollywoodienne. Goldman est également scénariste pour le cinéma. C'est d'ailleurs lui qui écrira le scénar de Princess Bride, ce qui explique le très peu de distorsion entre la version papier et pellicule, si ce n'est la fin mais j'y reviendrai plus tard. On lui doit également Butch Cassidy et le Kid, film qui réunissait les deux beaux gosses du cinéma américain de l'époque, Paul Newman et Robert Redford. Il fait d'ailleurs référence au film dans le roman, se mettant en scène en train d'observer la célèbre scène de falaise dont les similitudes avec Les Falaises de la folie au sommet desquelles nous faisons connaissance avec le pirate Roberts ne sont sans doute pas fortuites. 

6 - Plus si affinités

Les canulars les plus longs sont, pour William Goldman, les meilleurs. Parce qu'il ne s’arrêtera pas là, le bougre. Quand il prétend avoir écrit un chapitre original qu'aurait refusé son éditeur, il invite les lecteurs qui souhaitent le lire à écrire à la maison d'édition pour en obtenir un exemplaire. Tous ceux qui l'ont demandé ont reçu une lettre détaillant les problèmes juridiques qu'ils rencontrent avec des ayants droit de Morgenstern et leur avocat, Kermit Shog. Cette missive fut régulièrement mise à jour. La révision de 1987 mentionne le film, celle du 25e anniversaire comprend un addendum sur la petite-fille de l'avocat de Kermit, pour le 30e anniversaire une note de bas de page indique que les 3 pages du chapitre sont désormais disponibles un site Web contenant simplement le texte des 3 lettres originales. Il faudra attendre 2003 pour que le chapitre soit disponible en ligne.

Le Bébé de Bouton d'or, suite de Princess Bride, fut partiellement dévoilée au fur et à mesure des rééditions anniversaires, mais jamais entièrement. En raison, les mêmes fausses difficultés juridiques pour la sortir.

Un sacré farceur ce Goldman !

7 - Romance ruritanienne

Vous l'avez sans doute remarqué, les personnages du trio présentés plus haut viennent tous de l'étranger, de pays qui existent dans notre monde : Sicile, Espagne, Turquie. Pourtant les deux pays dont il est question dans le film, Florin et Guilder sont quant à eux fictifs. Ce sont deux monnaies, l'une italienne, frappée à Florence, l'autre des Pays-Bas. Est-ce un hasard, ou la volonté de l'auteur d'induire que les deux royaumes sont les faces d'une même pièce ? Toujours est-il que les deux pays, notamment quand on tente de les traduire en français, portent au final le même nom, Florin.

Je ne rate jamais une occasion de vous faire découvrir un nouveau mot peu usité dans le langage courant. Je trouve le prochain très joli. Avez-vous déjà entendu parler de la romance ruritanienne ? Il s'agit d'un genre littéraire issu du 19e siècle dont l'action du premier roman a en user, Le Prisonnier de Zenda de Anthony Hope sorti en 1894, se passe dans un pays imaginaire du nom de Ruritanie.

Les romances ruritaniennes sont le plus souvent des histoires d'amour et d'aventures se passant dans de petites monarchies "perdues" d'Europe centrale, genre germaniques ou balkaniques, comme un Liechtenstein réinventé. Ce qu'on appelle péjorativement des "royaumes d'opérette".

J'y pense, après les deux jeux sur les villes fictives (1 | 2), je me demande si je ne vous proposerai pas prochainement une version avec les pays, tiens.

8 - Princess Bride a sauvé la vie de plusieurs personnes

C'est dans la magazine américain Variety que Rob Reiner, le réalisateur de Princess Bride, racontait en 2017 une étonnante anecdote. Alors qu'il est assis à la table d'un restaurant, une jeune femme s'approche en se présentant comme une grande fan du film dont au sujet duquel je vous ai convoqué aujourd'hui. Elle lui dit connaître toutes les répliques du films par cœur, lui racontant que c'est grâce à ce "don" qu'elle doit la vie. Piégée sous la neige par une avalanche avec plusieurs autres personnes, elle décide de réciter le film en intégralité pour éviter de sombrer dans une somnolence fatale. Tout le monde s'en sortira vivant.

La culture aussi peut sauver des vies. Le message est important, surtout en ce moment. Et souvenez-vous : "Bonjour, mon nom est Inigo Montoya, tu as tué mon père, prépare-toi à mourir."

9 - Qui dit que la vie est juste ?

Cette réplique dans la bouche de Peter Falk peut s'appliquer à la fin du roman qui n'est pas aussi happy que pour le film.

"Ils chevauchèrent vers la liberté. Et au levé du jour Westley et Bouton d'or surent qu'ils étaient sauvés." À un baiser près, Grand Amour oblige, c'est sur ces mots que se termine le conte du film. La fin du roman est bien plus ambiguë. Effectivement, nos héros s’échappent mais, malheureusement, un de leurs chevaux perd un fer - le comble de la malchance - ils se perdent et les chiens commencent à les talonner...

10 - Remake, inconcevable or not ?

En septembre dernier, Sony annonçait sa volonté de proposer un remake de la franchise.

Si on analyse froidement, en mode brouzoufs, la carrière du film, on remarquera que même s'il n'a pas fait un bide, son box-office est loin d'être exceptionnel. Il n'a rapporté "que" 31 millions de dollars dans les salles américaines, ce qui le classait au moment de l'annonce à la 2674e place du classement de tous les filmst. Seulement, la patine du temps a fait son effet et a allumé des dollars dans les yeux des pontes du studio. Cependant, le web n'a pas goûté à la nouvelle. Un tollé du genre "Touche pas à ma Princess" a fait gronder les réseaux sociaux. A ma connaissance, il n'y a pas eu de suite à cette annonce depuis.

Pour la petite info, Disney qui a accueilli le film sur sa plateforme de streaming aux États-Unis (mais pas encore en France) avait souhaitait en 2013, mettre en scène une nouvelle version musicale du conte pour Broadway.

Le petit plus cynique de la maison

Petite surprise promise, chose due. Quand j'ai décidé de mater Princess Bride pour me changer les idées en cette période de confinement, l'actualité s'est étrangement invitée dans le conte de fée. La preuve en image sur mon compte Twitter.

Sources : Wikipédia, bookriot.com, www.allocine.fr, www.clairobscur.info, blockblog.fr, claudialucia-malibrairie.blogspot.com, premiere.fr, variety.com

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